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Déléguer la conduite de cultures, le bon levier de la double activité

Avoir une activité en plus de l’exploitation agricole est une réalité pour de nombreux agriculteurs et agricultrices. Confier ses travaux des cultures à des tiers est une des solutions qui permet d’y arriver avec des gains d’opportunité à la clé. 

Obtenir un revenu complémentaire sur une petite exploitation, lisser le revenu en cas d’aléas, valoriser ses compétences dans un domaine autre que l’agriculture, gérer une période de transition sur l’exploitation... Pour de nombreuses raisons, les agriculteurs et agricultrices sont nombreux à faire le choix d’être pluriactif. Le recensement agricole indique que près d’un chef d’exploitation sur quatre est pluriactif. Les jeunes installés sont en moyenne assez fortement concernés avec un taux de 35 % en moyenne. Ce taux est un peu plus faible pour les femmes (31.5%).

Sécuriser ses revenus
Quand on est double actif, on recherche logiquement une double performance. On vise à s’épanouir dans une activité extérieure parfois plus rémunératrice que l’agriculture et qui valorise une appétence et des compétences parfois différentes de l’agriculture. Par ailleurs on cherche aussi à stimuler la performance de son exploitation agricole. Cette recherche de double performance consiste à chercher le meilleur « gain d’opportunité » en comparaison à une situation d’emploi à 100 % sur la ferme par exemple. Ce gain dépendra de la rémunération de l’activité extérieure et aussi des charges liées à la délégation. Il convient aussi de prendre en compte la réglementation sur la pluriactivité en agriculture qui selon les statuts de l’exploitation peut avoir un impact sur les soutiens de la PAC et sur les aides à l’installation. 
En déléguant ses travaux à une ETA, l’exploitant pluriactif peut aussi améliorer son gain d’opportunité en accédant à des techniques et des matériels qu’il ne pourrait pas amortir sur une petite surface. Ces « réservoirs de performance » présents dans les ETA permettent par exemple d’améliorer l’efficacité des intrants, d’améliorer les résultats des cultures, ou viser des débouchés rémunérateurs comme les cultures industrielles ou les filières de qualité (zéro résidu, haute valeur environnementale, etc.). 
Par rapport à d’autres systèmes de délégation, le fait de faire appel à des services de travaux comme ceux de Linkinfarm, permet également de transférer entièrement la charge de l’investissement dans le matériel, son stockage et son entretien. La « charge mentale » liée aux pannes notamment est transférée, ce qui n’est pas négligeable quand on exerce une activité extérieure qui empêche d’avoir une disponibilité à 100 % pour intervenir. La pluriactivité associée à la délégation de travaux offre encore d’autres gains d’opportunité parfois difficilement chiffrables comme le fait de pouvoir gérer avantageusement une transition, différer une installation, différer l’achat du matériel…

Un suivi sans faille avec Linkinfarm

Avec la solution de gestion complète des travaux Linkinfarm, l’agriculteur pluriactif dispose d’une possibilité unique pour déléguer l’intégralité des travaux de sa ferme. Via la mise en réseau de 900 ETA partenaires, la plate-forme offre des solutions à la pointe pour réduire les intrants et maximiser le résultat d’entreprise. La charge administrative est réduite par un système informatisé connecté communiquant. Ce système bénéficie en outre d’un cadre réglementaire sécurisant. Des objectifs de gestion sont fixés avec les agriculteurs exploitants que des indicateurs permettent de les suivre en temps réel. Toutes les opérations culturales sont enregistrées dans la base ce qui garantit un suivi à distance très pratique lorsque l’agriculteur exerce sa double activité en dehors de la ferme. 
La commande et le suivi des travaux sont confiés à un chef de cultures formé et expérimenté qui se charge de la planification et de la coordination des travaux. Il assure aussi le suivi agronomique et peut également gérer les achats d’intrants. Le service a été conçu pour être très souple. L’agriculteur reste l’exploitant et conserve toute latitude pour déléguer plus ou moins les décisions importantes au chef de cultures. 

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